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Les Hardings Alexia Bürger : Download PDF
Alexia Bürger

(4/5, I liked it a lot)
Concept fabuleux que celui de créer une discussion à trois voix appartenant à des hommes ayant pour point commun principal de porter le même nom. Un est un inventeur résidant en Nouvelle-Zélande, le second est assureur et habite les États-Unis alors que le troisième est un Canadien, conducteur de trains. Tous trois se nomment Thomas Harding, comme dans Thomas Harding, le conducteur du train de la MMA qui a décimé une partie du centre-ville de Lac-Mégantic en juillet 2013, entraînant quarante-sept personnes dans la mort.
C’est cette tragédie qui au cœur de la pièce LES HARDINGS. Que s’est-il passé cette nuit-là et durant les heures qui ont précédé? C’est ce à quoi répondent les trois Thomas, chacun terminant la phrase de l’autre. On parle au « tu » et au « je », pas au « il » :
LE CHERCHEUR : Tu mets la machine à café en marche.
L’ASSUREUR : Tu frottes le savon sous tes aisselles.
LE CONDUCTEUR : Je prends mes bobettes dans la sécheuse,
LE CHERCHEUR : la chemise suspendue sur le cintre dans le salon.
L’ASSUREUR : Tu mets le même pantalon qu’hier.
LE CHERCHEUR : Tu laisses sous le bol de fruits huit dollars pour le repas du fils,
L’ASSUREUR : huit dollars
LE CONDUCTEUR : pour mon fils.
Accessoirement, le Thomas Harding néo-zélandais a également le parcours marqué par une tragédie, un drame. Comme pour la catastrophe ayant marqué le conducteur, ce sont les trois homonymes qui se chargent d’en exposer au public (au lecteur) les circonstances, le conséquences ainsi que la culpabilité résiduelle.
Je vais au théâtre régulièrement. Lorsque le texte est bon, on le reconnaît rapidement. Le premier réflexe est cependant de mettre en avant plan la performance (bonne ou pas tout à fait juste) des comédiens ainsi que l’ingéniosité de la mise-en-scène, des décors et de l’éclairage. Lorsqu’on lit le théâtre, seuls demeurent les mots et la suggestion de mise-en-scène. Pas d’éclairage, pas de musique, pas de comédien. Que l’histoire et les dialogues. Lorsque ceux-ci sont intéressants, originaux, solides et dynamiquement présentés, on constate rapidement que tout repose sur eux.
Ici, la proposition d’Alexia Bürger possède toutes ces qualités. L’approche sympathique (mais jamais légère, jamais « déculpabilisatrice ») véhiculée par les « trialogues » ajoute un côté humain à ce qui s’avère être, à tout compte fait, un docu-théâtre. Le spectateur (le lecteur) quitte la pièce plus connaissant qu’il l’était avant d’y goûter. Il en ressort également fort satisfait.
Bien hâte de voir Les Hardings, lorsque la pièce repassera en ville ou si elle est remontée.
99
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c’est cette tragédie qui au cœur de la pièce les hardings. que s’est-il passé cette nuit-là et durant les heures qui ont précédé? c’est ce à quoi répondent les trois thomas, chacun terminant la phrase de l’autre. on parle au « tu » et au « je », pas au « il » :
le chercheur : tu mets la machine à café en marche.
l’assureur : tu frottes le savon sous tes aisselles.
le conducteur : je prends mes bobettes dans la sécheuse,
le chercheur : la chemise suspendue sur le cintre dans le salon.
l’assureur : tu mets le même pantalon qu’hier.
le chercheur : tu laisses sous le bol de fruits huit dollars pour le repas du fils,
l’assureur : huit dollars
le conducteur : pour mon fils.
accessoirement, le thomas harding néo-zélandais a également le parcours marqué par une tragédie, un drame. comme pour la catastrophe ayant marqué le conducteur, ce sont les trois homonymes qui se chargent d’en exposer au public (au lecteur) les circonstances, le conséquences ainsi que la culpabilité résiduelle.
je vais au théâtre régulièrement. lorsque le texte est bon, on le reconnaît rapidement. le premier réflexe est cependant de mettre en avant plan la performance (bonne ou pas tout à fait juste) des comédiens ainsi que l’ingéniosité de la mise-en-scène, des décors et de l’éclairage. lorsqu’on lit le théâtre, seuls demeurent les mots et la suggestion de mise-en-scène. pas d’éclairage, pas de musique, pas de comédien. que l’histoire et les dialogues. lorsque ceux-ci sont intéressants, originaux, solides et dynamiquement présentés, on constate rapidement que tout repose sur eux.
ici, la proposition d’alexia bürger possède toutes ces qualités. l’approche sympathique (mais jamais légère, jamais « déculpabilisatrice ») véhiculée par les « trialogues » ajoute un côté humain à ce qui s’avère être, à tout compte fait, un docu-théâtre. le spectateur (le lecteur) quitte la pièce plus connaissant qu’il l’était avant d’y goûter. il en ressort également fort satisfait.
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bien hâte de voir les hardings, lorsque la pièce repassera en ville ou si elle est remontée. and healing is slowed. Note: the devastor won't destroy the really big (4/5, i liked it a lot)
concept fabuleux que celui de créer une discussion à trois voix appartenant à des hommes ayant pour point commun principal de porter le même nom. un est un inventeur résidant en nouvelle-zélande, le second est assureur et habite les états-unis alors que le troisième est un canadien, conducteur de trains. tous trois se nomment thomas harding, comme dans thomas harding, le conducteur du train de la mma qui a décimé une partie du centre-ville de lac-mégantic en juillet 2013, entraînant quarante-sept personnes dans la mort.
c’est cette tragédie qui au cœur de la pièce les hardings. que s’est-il passé cette nuit-là et durant les heures qui ont précédé? c’est ce à quoi répondent les trois thomas, chacun terminant la phrase de l’autre. on parle au « tu » et au « je », pas au « il » :
le chercheur : tu mets la machine à café en marche.
l’assureur : tu frottes le savon sous tes aisselles.
le conducteur : je prends mes bobettes dans la sécheuse,
le chercheur : la chemise suspendue sur le cintre dans le salon.
l’assureur : tu mets le même pantalon qu’hier.
le chercheur : tu laisses sous le bol de fruits huit dollars pour le repas du fils,
l’assureur : huit dollars
le conducteur : pour mon fils.
accessoirement, le thomas harding néo-zélandais a également le parcours marqué par une tragédie, un drame. comme pour la catastrophe ayant marqué le conducteur, ce sont les trois homonymes qui se chargent d’en exposer au public (au lecteur) les circonstances, le conséquences ainsi que la culpabilité résiduelle.
je vais au théâtre régulièrement. lorsque le texte est bon, on le reconnaît rapidement. le premier réflexe est cependant de mettre en avant plan la performance (bonne ou pas tout à fait juste) des comédiens ainsi que l’ingéniosité de la mise-en-scène, des décors et de l’éclairage. lorsqu’on lit le théâtre, seuls demeurent les mots et la suggestion de mise-en-scène. pas d’éclairage, pas de musique, pas de comédien. que l’histoire et les dialogues. lorsque ceux-ci sont intéressants, originaux, solides et dynamiquement présentés, on constate rapidement que tout repose sur eux.
ici, la proposition d’alexia bürger possède toutes ces qualités. l’approche sympathique (mais jamais légère, jamais « déculpabilisatrice ») véhiculée par les « trialogues » ajoute un côté humain à ce qui s’avère être, à tout compte fait, un docu-théâtre. le spectateur (le lecteur) quitte la pièce plus connaissant qu’il l’était avant d’y goûter. il en ressort également fort satisfait.
bien hâte de voir les hardings, lorsque la pièce repassera en ville ou si elle est remontée. pillar. Tolkien was a philologist by profession, and spent much time on (4/5, i liked it a lot)
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accessoirement, le thomas harding néo-zélandais a également le parcours marqué par une tragédie, un drame. comme pour la catastrophe ayant marqué le conducteur, ce sont les trois homonymes qui se chargent d’en exposer au public (au lecteur) les circonstances, le conséquences ainsi que la culpabilité résiduelle.
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